Résidence le Val 1 & 2 – Carpiquet

Créer un environnement qui rassemble espace et confort

La Résidence Le Val, projet d’envergure qui s’inscrit dans un aménagement urbain global de Carpiquet, est diviser en différents projets. Les deux premiers ici présentés sont des logements collectifs accompagnés de locaux commerciaux livré en 2022. Ils attendent d’être rejoint par Le Val 3, actuellement en cours de réalisation ainsi que Le Val 4, projets de réalisations de maisons individuelles présentement en phase de conception et destinés à parachever cette nouvelle entrée de Ville de Carpiquet.

Le projet constitue donc une phase d’aménagement le long de la route de Bretteville dans sa partie sud, et combine plusieurs qualités renforcé par sa position en entrée de ville au sud.

Positionner de la sorte, les voiries crées entre les bâtiments amorcent un nouveau tracé viaire. Il se développera vers l’est à moyen terme pour la desserte d’un nouveau secteur à urbaniser et du projet « Nord ». La voirie et l’implantation des bâtiments permettent alors d’organiser à l’Est les zones de stationnements et d’accès aux logements, favorisant ainsi :

• la confidentialité des accès vers les logements coté est
• la création des entrées et façades « communicantes » des locaux d’activité à l’Ouest le long de la route de Bretteville.

Une nouvelle architecture pour un nouveau quartier

Dans cette même logique, l’écriture des bâtiments avec leurs redents, leurs jeux de hauteurs, de matériaux, leurs loggias et balcons, permet de séquencer le projet.

L’épannelage gradinant créé en pignon sud du bâtiment C, amorce l’entrée de ville, et permet aux logements de bénéficier de belles terrasses bien orientées et aux vues dégagées sur la campagne environnante.

Les bâtiments se composent d’un rez-de-chaussée actif. Il est surmonté de 2 niveaux et d’un étage attique dédiés aux logements, le tout sur sous-sol.

Participant toujours à cette démarche d’insertion, cette architecture développe la logique de maison sur toit. Elle profite ainsi du gabarit urbain imposé pour positionner, en attique, des formes de « longères », coiffant le projet. Cette échelle humaine du bâti minimise enfin naturellement l’impact global de la construction vis-à-vis de son environnement et participe à une écriture nouvelle pour ce quartier naissant.